Ambroise, qui ne pouvant abolir entièrement le théâtre, engagea les Empereurs à en retrancher du moins les abus contraires à la religion. […] A-t-on remarqué que sur le théâtre il n’est jamais question de la Déesse ni des Prêtresses de la chasteté ? […] Quelles sont en effet les Eglises si bien ornées que le théâtre ! […] Plût à Dieu, dit-il, que ces réflexions pussent détourner les hommes des jeux du cirque et des représentations du théâtre ! […] Le théâtre est comme le carquois de Cupidon.