Si l’on veut savoir quelle était la disposition des anciens théâtres, on peut lire les notes de Perrault sur Vitruve. […] Quoique l’auteur s’exprime d’une manière un peu obscure, je crois néanmoins qu’il parle ici contre les comédiens qui s’habillaient en femmes ; car il parle un peu plus bas des femmes, qui paraissaient elles-mêmes sur le théâtre.