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44. (1731) Discours sur la comédie « TROISIEME DISCOURS » pp. 304-351

Le Théâtre des Comédiens est trop disproportionné avec ce que nous avons de plus saint, pour pouvoir hésiter si on doit les joindre, et il est trop évident qu’on ne peut faire paraître l’Ecriture sur le Théâtre sans l’altérer et la profaner. […] Donc l’Ecriture ne saurait plaire sur le Théâtre des Comédies sans y être altérée ou corrompue. […] Voilà cependant ce qu’on prendra pour le Théâtre. […] Voilà à quoi aboutit tout ce qu’on met de bon dans les pièces de Théâtre. […] » On a bien vu que cela était trop édifiant pour être mis sur le Théâtre.

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