On ne voit rien de tout cela dans les premiers siecles de l’Eglise, quoique le pouvoir des démons y fût si bien connu, que les Apôtres & les Martyrs chassoient fréquemment les démons, en vertu du pouvoir que Jesus-Christ en avoit donné en termes exprès, in nomine meo demonia ejicient ; que Saint Pierre ait combattu Simon le magicien, Saint Paul le magicien Elimas, & c. […] Il a été comme la rubrique & l’école de leur culte profâne, si l’on peut employer ce terme : sur-tout il l’a été de cette de cette partie de leur liturgie, qui consiste en débauche & en excès.