On peut dire de Moliere sans lui faire injustice, qu’il n’est pas digne d’être imité par ses dénouemens, qui tiennent plus des anciens & des farceurs d’Italie, que des grands-hommes que je viens de nommer, Corneille & Racine. […] Il y a eu un autre Destouches, non moins célebre, qui tient au théatre.