César, intéressé à la faire respecter en sa personne, était trop prudent pour tenir le langage que lui prête l’envie de dire de grands mots, aux dépens de la sagesse et des mœurs. […] Et je tiendrai toujours mon bonheur infini, Si les miens sont vengés, et le Tyran puni. […] Tous les Acteurs, chacun à sa manière, plein des mêmes principes, tient le même langage, tout ne parle que de meurtres, de trahisons, de séditions. […] Pouvait-il ne pas le tenir ? […] Cependant pour le perdre, il faut dissimuler, Et lui promettre tout, pour ne lui rien tenir.