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11. (1765) Apologie du théâtre français pp. 1-4

***  D’un côté c’est Racine et de l’autre un Voltaire : L’un est tendre et touchant ; l’autre délicieux : Il tonne dessus nous, et menace les cieux ; Des hommes si profonds quittent trop tôt la Terre. […] ***  Ici c’est un Acteur qui brille sur la Scène ; Tendre dans son langage, attrayant par son jeu, Et maître de son rôle, il le rend avec feu : A l’aller écouter toujours il nous entraîne.

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