Le tems ne peut étendre ni resserrer l’espace, non plus que l’espace ne peut ni prolonger ni abreger le tems ? […] Le tems n’est lui-même que des momens qui se suivent : le moment s’embrasse-t il ? […] O tems ! […] Comment le tems plane-t-il sur les lieux ? […] Le tems n’est ni dessus, ni dessous rien : le tems plane-t-il avec gloire ?