Comment permettrait-elle les spectacles dans ce temps qu'elle appelle un temps favorable, et des jours de Salut, puisqu'elle en a banni les plaisirs permis en d'autres temps, et qu'elle a même retranché de ses offices toutes les démonstrations d'une sainte réjouissance, principalement pendant le carême qui est un temps consacré à la mémoire de la Passion de Jésus-Christ. […] Le carême, et tout le temps du jeûne étant consacré à la Prière, aux larmes, à la componction, à la tristesse, et à la crainte salutaire qui nous mène au salut, et aux joies éternelles par la privation des fausses joies de ce siècle, les Conciles, et les Pères ont toujours insisté sur cette maxime, qu'il en fallait exclure les spectacles quand même ils seraient innocents.