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66. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre VII. De l’infamie canonique des Comédiens. » pp. 153-175

L’opprobre des mortels triomphe dans un Temple. […] Non, ces bords désormais ne seront plus profanes, Ils contiennent ta cendre ; et ce triste tombeau, Honoré par mes chants, consacré par tes manes,  Est pour nous un temple nouveau. […] Si les Comédiens ne veulent point avoir de la piété, qu’ils laissent du moins la piété en repos dans son temple, et ne viennent point l’insulter par un excès de profanation qui fait mépriser et le lieu saint qu’il déshonore, et les lois de l’Evangile qu’il brave, et les foudres de l’Eglise dont il se joue.

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