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1. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « CHAPITRE V. Des Comédiens. » pp. 156-210

L’accueil qu’ils font à un Comédien est un hommage qu’ils rendent à des talents distingués. […] L’un ne suppose-t-il pas l’autre, et jouirait-on du talent si l’Acteur n’en faisait pas son métier ? […] Ce n’est donc pas le métier qui honore, mais le talent avec lequel on s’y distingue. […] « Qu’est-ce que le talent du Comédien ? […] , p. 143 : « Qu’est-ce que le talent du Comédien ?

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