Ils ne laissent point la liberté de réfléchir ; l’âme, frappée par la force du tableau vivant, entraînée par le torrent de l’action, et l’ivresse du plaisir, n’est plus à la raison, à elle-même. […] quel sublime dans ses pensées ; quelle noblesse dans ses portraits ; quelle majesté dans les tableaux ; quelle profondeur de politique ; quelle vérité ; quelle force de raisonnement, » etc.