Ni la joie de la comédie, ni la tristesse de la tragédie, n'ont de sujet raisonnable ; rien de ce qu'on y représente ne nous intéresse en effet.
Ni la joie de la comédie, ni la tristesse de la tragédie, n'ont de sujet raisonnable ; rien de ce qu'on y représente ne nous intéresse en effet.