Mais j’ôse le dire, nous restreignons trop les sujets de la Comédie, en n’ayant pas actuellement la hardiesse de mettre sur le Théâtre des femmes mariées, trompant la foi conjugale, ou du moins dont la conduite mérite d’être reprise. […] De-là aussi cette sécheresse, cette disette de sujets, & ces mariages qui terminent toujours nos Pièces enjouées.