Souffrirait-on qu’on avançât que le Pape peut délier les sujets du serment de fidélité à leur Prince ? […] Sont-ce là des leçons qui forment des sujets fidèles ? […] Mais c’est, dit-on, le sujet de la pièce qui par lui-même est horrible. […] pourquoi aller chercher ces sujets, et étaler aux yeux du public ce qui ne saurait être trop profondément enseveli dans les ténèbres ? […] Il est surprenant qu’un sujet si fort de son goût n’ait pas été le premier qu’il a traité ; enfin il l’a saisi pour terminer sa carrière dans des flots de sang.