L’amour même malheureux, même sauvage, comme celui d’Hypolite dans Phedre, n’est jamais rude & farouche ; il inspire l’attendrissement, non la terreur ; il humanise, il adoucit tout au milieu même des malheurs qui le suivent, à moins que ce ne soit quelque brutal, quelque fou, quelque ivrogne, qui, comme dit si joliment M. […] Le théatre devoit être donc alors bien parfait, un modèle à suivre.