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402. (1756) Lettres sur les spectacles vol. 2 «  HISTOIRE. DES OUVRAGES. POUR ET CONTRE. LES THÉATRES PUBLICS. — NOTICES. PRÉLIMINAIRES. » pp. 2-100

Ils parvinrent à porter à la plus grande perfection cet art dont Despréaux nous a donné l’histoire dans les Vers qui suivent : La Tragédie, informe & grossiere, en naissant, N’étoit qu’un simple chœur où chacun, en dansant, Et du Dieu des raisins entonnant les louanges, S’efforçoit d’attirer de fertiles vendanges. […] Cependant aujourd’hui les enfans de la foi D’un plus sage transport ont-ils suivi la loi ? […] Ce mauvais naturel ne fit que le rendre plus propre à suivre la loi générale du genre comique, qui exige que le Poëte se conforme à l’inclination dominante du Peuple. […] Elles s’ouvroient ordinairement par une Messe solemnelle, qui étoit suivie d’un repas splendide.

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