Cette représentation du Jugement de Pâris, étoit suivie de l’exposition d’une femme condamnée à mort, & à une prostitution dont la pudeur ne permet pas de nommer le genre. […] M. de Voltaire, qui a si bien suivi les traces du grand Corneille, & qui a fait plus que lui, en enrichissant la Nation d’un Poëme Epique, auroit dû imiter son noble empressement à retrancher dans le Cid, les quatre fameux Vers sur le Duel, dès qu’on lui eût fait entendre qu’ils étoient contre les bonnes mœurs.