On suit d’un œil aussi curieux, & aussi inquiet le Personnage représenté au Théâtre, que si l’on contemplait dans le monde ses folies ou ses infortunes. […] Il s’en suit que la Comédie ne saurait peindre trop fortement les caractères qu’elle va chercher dans le monde ; plus leurs traits seront marqués, plus ils seront chargés de ridicules, & plus ils réjouiront les Spectateurs.