Le premier de ces désordres est un obstacle à toutes les vertus, et le second porte à tous les vices ; mais l’un et l’autre sont certainement la suite des spectacles, et toujours dans la même proportion qu’on les aime et qu’on y est assidu. […] L’expérience d’autrui est le meilleur remède pour guérir la curiosité, quand les suites peuvent nous perdre pour l’éternité.