C’est par-tout un homme d’esprit, amateur du Théatre, admirateur de Voltaire, qu’il ne peut souffrir qu’on le loue sans enthousiasme, & ce qui est assez une suite de l’un & de l’autre, c’est un style tranchant, un ton de maître, des décisions souveraines, surtout peu d’égard pour la religion & les mœurs. […] En suite des Comédiens représenterent sur le champ la piece dont le Roi leur prescrivit le sujet.