Tout tente au théatre, & à force de goûter ce qui plaît, on aime le piege, on se sait bon gré d’y être pris, on s’y apprivoise aisément ; malgré le danger, la douceur du poison en fait oublier les funestes suites. […] Mais on se trompe, l’Evangile défend par-tout ces divertissemens : la pureté du cœur, la mortification des sens, la foiblesse de la chair, la légèreté de l’esprit, la force des passions, la malice du démon, la suite des occasions, la haine du monde, &c.