Si quelqu'un persiste après cela à préférer son jugement particulier à celui de l'Eglise, qui a toujours suivi comme une de ses plus importantes règles le consentement unanime des Pères, et qu'il continue à approuver un divertissement qu'ils condamnent, il ne faut pas essayer de lui prouver davantage une vérité si certaine; mais il suffit de lui dire ce que dit saint Athanase à un évêque de Corinthe, vos sentiments ne sont point ceux de l'Eglise orthodoxe, et nos ancêtres ne les ont point eus.