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75. (1824) Un mot à M. l’abbé Girardon, vicaire-général, archidiacre, à l’occasion de la lettre à M. l’abbé Desmares sur les bals et les spectacles, ou Réplique à la réponse d’un laïc, par un catholique pp. -16

D’où vous concluez que je me suis égaré, parceque, selon vous, « ces deux points d’examen sont de natures fort différentes. » Deux mots suffiront pour expliquer mon intention, et si je me suis trompé, je ne demande pas mieux que d’en convenir : j’ai cru, Monsieur, dans toute la simplicité de ma dévotion, que là où il n’y avait rien d’immoral, il ne pouvait y avoir de péché. […] -Martial ; et que le père Ménétrier a vu dans plusieurs cathédrales « les chanoines danser avec les enfans de chœur le jour de Pâques. » Il y a plus, Monsieur, et ce seul exemple devrait suffire, relisez les lettres de St.

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