Il n’en demeure pourtant pas là ; il veut être autorisé dans la défense de la Comédie par l’Archevêque de la Capitale du Royaume : « L’illustre et sage Prélat, dit-il, qui gouverne avec tant de succès ce grand Diocèse, et qui ne laisse rien échapper à ses soins et à son zèle, n’emploierait-il pas toute son autorité pour ôter cette pierre de scandale du milieu de son Troupeau, s’il était vrai que la Comédie fut scandaleuse ?