L’Abbé de Voisenon, dont nous avons souvent parlé, étoit si entousiasmé du Théatre, que l’Almanach des Spectacles 1777 rapporte que Voltaire lui ayant lu sa Mérope, cet Abbé transporté s’écria : c’est un chef-d’œuvre dramatique, c’est la meilleure de vos Tragédies. […] Qu’on essaye pareille chose en France, qu’on prenne une Scêne de chaque Comédie de Moliere, de chaque Tragédie de Corneille, qu’on représente de suite ces trente Scènes, ce spectacle seroit ridicule & insupportable.