C’est précisément sa douleur qui fait sa joie dans ces spectacles d’attendrissement ; mais comme la compassion qu’inspire la Tragédie, est proprement une compassion stérile, qui ne tend pas à secourir les affligés, mais seulement à s’unir de cœur à leur affliction ; il s’ensuit qu’on prend tout le mauvais de la Tragédie, et que le bon échappe faute d’objet sur qui l’appliquer.