Le spectacle finit par La Princesse Blanquette aimée de Restaurant, rivale de madame Miroton, laquelle est recherchée par M. […] On avance en faveur de ces spectacles, qu’ils nourrissent et qu’ils sauvent de la misère une multitude de sujets. […] On objecte encore que ces spectacles sont faits pour le peuple seul, que le peuple seul y va. Cela étoit vrai autrefois, dans un temps, qu’il faut regretter, où ces spectacles n’étoient qu’absurdes. […] Une des suites, ai je dit, de la fréquentation assidue de ces spectacles, c’est la ruine de la fortune.