Les spectacles condamnés par les auteurs profanes anciens et modernes. […] Le spectacle ne plaît que par la représentation des hommes vicieux. […] Si la décision de ces auteurs n’emporte pas une interdiction juridique, elle sert du moins à prouver, suivant les lumières de la raison, le danger des spectacles. […] Il est facile de voir que la conduite de certains ecclésiastiques qui autorisent les spectacles ne rend point ces divertissement plus permis. […] Ce grand roi demandait un jour à Bossuet son avis sur les spectacles : « Sire, répondit l’illustre prélat, s’il y a de grands exemples pour, il y a des raisons invincibles contre. » 40.