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404. (1733) Traité contre les spectacles « TRAITÉ CONTRE LES SPECTACLES. » pp. 145-246

En effet il se trouve des gens, qui séduits agréablement par les fausses maximes des païens, raisonnent ainsi : Il n’y a, disent-ils, rien d’opposé à la religion dans ce plaisir, que l’on donne aux yeux et aux oreilles ; puisque l’âme n’en souffre aucune atteinte : Dieu n’est point offensé par un divertissement, au milieu duquel l’homme conserve toujours la crainte, et le respect qu’il doit à son divin maître ?

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