Il est vrai qu’on leur a quelquefois reproché de souffrir sur leur terrain cette comédie licencieuse, de louer leurs boutiques aux Comédiens, et d’en tirer un profit considérable. […] Elles sont souffertes par la Police, le propriétaire n’est cause de rien, il tire de son fonds le revenu naturel du loyer. […] Lazare, ne devait pas les souffrir. […] Vincent on mît au nombre de ses défauts de les avoir souffert sur son terrain. […] On ne représentait au moulin d’Issy aucune pièce qui n’eût été vue, corrigée et approuvée par le Supérieur, on n’y souffrait pas même le mot d’amour, il ne s’y dansait jamais, on retranchait tous les rôles de femme.