Aucun de ses confrères ne voulut l’y souffrir. […] On ne blâma pas moins Auguste d’avoir seulement souffert que des Chevaliers parussent sur le théâtre. […] Le Maréchal de Saxe avait aussi peu de délicatesse : non seulement il souffrait que les Officiers jouassent des rôles, mais il avait une troupe de Comédiens qui le suivait et campait avec lui ; il la prêtait même au Général ennemi.