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105. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174

Le ciel entre nos mains a mis le sort de Rome. » Cinna aime éperdument la fille d’Auguste, et ne veut pas la recevoir de sa main, quand son père voudrait la lui donner : « La recevoir de lui me serait une gêne. […] Que peut craindre un Romain des caprices du sort, Tant qu’il lui reste un bras pour se donner la mort ? […] Et vous sans redouter l’exemple de la mort, Vous semblez n’envier que son funeste sort. […] Si du sort des Tyrans vous bravez les hasards. […] D’abord que le Tyran sortira du palais, Tout son sang répandu lavera ses forfaits.

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