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264. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE II. L’Impiété du Théâtre Anglais. » pp. 93-168

Dés le commencement Dorax parle en ces termes : « Je confierais au Ciel le soin de ma vengeance ? […] Et afin qu’on ne se méprenne point à cette exposition de la Liturgie, le Théologien-Poète a soin de la marquer en lettres Italiques et Majuscules. […] Au moment que Minerve l’encourage à charger l’ennemi, il la paie de ce soin par cette insolente réplique : Retirez-vous, je vous prie, et faites voir ailleurs votre visage ; je n’ai besoin d’aucune Déesse pour seconder mes entreprises.

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