S’isolant de son siècle, il attaqua sans pitié les vices et les travers de la société partout où il les trouva. […] L’action de la société sur l’écrivain me paraît évidente ici. […] Le théâtre n’est certainement pas en ce moment l’expression de la société. […] Si le sentiment règle toujours le goût et soumet généralement l’esprit à ses affections, qui peut assurer que les obscénités que l’on souffre aujourd’hui au théâtre, en se gravant dans la mémoire, ne finissent pas par corrompre la société ?