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17. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre II. Regrèts de ce qu’ARISTOTE n’en a rien écrit de considérable. » pp. 94-100

La raison qui me le fait croire ést toute simple, c’est qu’ordinairement les Auteurs ne traitent que des sujets analogues au goût de leur tems. […] On ne les connaissait pas du tems d’Aristote, puis qu’il dit dans sa Poétique ; « Les noms ne signifient rien, même doubles & séparés, comme Théodore, si l’on désunit les deux noms qui le forment, ni l’un ni l’autre ne signifient rien12. » Je crois avoir prouvé le contraire ; je vais le faire sentir encore mieux par ce même mot Théodore, que notre Philosophe soutient ne signifier qu’un simple nom d’homme.

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