Heureux siècle, où l’on respectait le grand précepte de la sanctification du sabbat, et où les autres jours même il fallait user de violence pour forcer les Chrétiens de paraître à la comédie ! […] Mais à quoi bon, dira-t-on, citer ces ordonnances rendues il y a mille ans, et ces raisons de mysticité dont notre siècle se moque ?