IL n’a presque pas paru d’ouvrage sur l’Education des deux sexes, sur-tout à la fin du dernier siecle & au commencement de celui ci, où l’on n’ait parlé du théatre, & où l’on ne conseille de l’interdire aux jeunes gens. […] Le théatre ne connoît dans le sexe d’autre mérite que celui de la tendresse & de la beauté, & n’a que des couronnes de myrthe à lui distribuer.