comment peut-il justifier jusqu'à l'opéra, la danse, la musique, parce qu'on peut faire de beaux motets pour l'Eglise, comme s'il y avait un seul air à l'opéra qui n'inspire la mollesse et la passion, et comme s'il convenait de les chanter à l'Eglise, et de rappeler l'idée de cette morale lubrique que Lully réchauffa des sons de la musiqueo ?