/ 566
528. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE III. L’insolence du Théâtre Anglais à l’égard du Clergé. » pp. 169-239

Je remarque que quand l’imagination de nos Poètes se lasse, et qu’ils commencent à radoter, ils se jettent communément sur quelque homme d’Eglise pour le faire servir d’organe à leurs rêveries. […] Or la gloire du serviteur croît à proportion de la qualité du Maître qu’il sert : il est plus honorable, par exemple, d’être attaché au service d’un Prince qu’à celui d’un simple particulier.

/ 566