Un libertin qui sent par là son Athéisme se confirmer et sa conscience se rassurer, ne saurait être ingrat envers les auteurs de ces bons offices : son propre intérêt même l’engage à prôner de tels ouvrages, et à briguer pour eux des éloges. […] Tout cet endroit ne sent-il pas plus le Diaphorus que le Poète ? […] Si des fibres ont le goût très fin pour sentir les choses, elles ont donc en vérité plus de discernement que notre Poète n’a de jugement. […] que de sentir croître en nous chaque jour les désirs de la gloire qui nous est promise ?