En voilà assez pour faire remarquer que la précaution obligée de généraliser est illusoire, que les critiques faites sous cette forme sont pires que si elles étaient, personnelles, puisqu’elles le deviennent multipliées au gré des passions, et qu’elles ont par conséquent tous les inconvénients dont celui qui donne aux auteurs le privilége d’attaquer et flétrir impunément qui bon leur semble n’est pas le moins grand.