C’est ici Melpomène et les Lois, Didon et les Psaumes de David, le Chrétien et l’Auteur galant, qui, fort étonnés de se trouver sous le même toit, voudraient se réconcilier, et après avoir débité leurs raisons, ne savent comment s’y prendre. […] Ils se sont rejetés sur les Jacobins qui l’ont enseignée avant et après eux, et plus fortement qu’eux, ce qui est très vrai partout ailleurs qu’en France ; mais pourquoi ont-ils laissé Cinna, Pompée, Athalie, etc. où les mêmes horreurs se trouvent à chaque pas ? […] Si dans le sein de Rome il se trouvait un traître Qui regrettât les Rois, qui souhaitât un maître, Que le perfide meure au milieu des tourments.