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25. (1843) Le Théâtre, par l'Auteur des Mauvais Livres « Le Théâtre. » pp. 3-43

Charles Borromée se sont vus obligés de réduire leur zèle à demander au Ciel la patience pour supporter les scandales qu’ils ne pouvaient abolir. « Il est quelquefois nécessaire de tolérer quelque folies du peuple, dit Théodoric, roi d’Italie, pour l’empêcher de donner dans de plus grands écarts. […] Le théâtre est donc une école de scandale et de libertinage. […] Chrysostôme et Bossuet, d’être aux autres un sujet de scandale en les attirant par vos exemples à des représentations ? […] « L’unique regret qui me reste, dit le célèbre Gresset, en parlant de ses pièces, c’est de ne pouvoir point assez effacer le scandale que j’ai pu donner à la Religion par ce genre d’ouvrages, et de n’être point à portée de réparer le mal que j’ai pu causer. […]  » Voyez avec quel scandale cet homme renverse les rapports les plus sacrés. « Et tourne en dérision les respectables droits des pères sur leurs enfants, des maris sur leurs femmes, des maîtres sur leurs serviteurs.

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