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94. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

Il n’y a que la raison qui ne soit bonne à rien sur la scène. […] Si le sage est un Thémistocle, nous l’admirons ; s’il n’est que patient, ou timide, il n’est pas digne d’occuper la scène. […] Les méchants sont haïs sur la scène ; sont-ils aimés dans la société ? […] Rousseau reproche à la scène Française ; c’est l’amour décent, l’amour vertueux qu’il y attaque. […] Les mœurs de la scène ont changé ; et si M.

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