Ce mot èxprime encore, que tous les Personnages, entraînés par les circonstances, n’agissent plus sur la Scène. […] Je ne veux pas pourtant dire que la Scène des Latins fut toujours occupée. Il n’y a point de Chœurs dans leurs Comédies, & l’on y voit des intervalles sensibles où la Scène restait vide. […] D’ailleurs, il n’est pas toujours vrai que le prémier Acte soit nécessaire à l’èxposition ; il suffit quelquefois de la prémière Scène : & les meilleurs dénouemens n’arrivent souvent que dans la dernière Scène. […] M. de Mailhol ; Ramire, Tragédie, mêlée de Scènes comiques, représentée aux Italiens en 1757.