Trois fois ils firent couler le sang de l’ami du peuple, du grand Henri IV ; et enfin un scélérat fanatisé par les doctrines régicides des jésuites, s’arma d’un poignard parricide et arracha la vie au meilleur des rois. […] Tous les citoyens divisés sont aux prises et s’entr’égorgent, le sang coule de toute part. […] Ils n’y respirent que vengeance, que sang et carnage. […] On peut en raconter tout à la fois des traits de clémence et de cruauté : en effet le fanatisme de la gloire les rend toujours altérés de la soif de l’or et insatiables de sang humain. […] S’il eut de grandes qualités, il n’aima jamais la liberté et versa inutilement des torrents de sang humain pour assouvir son ambition déréglée.