Une injure répondue à une injure ne suffit point, cela ne peut se laver, s’effacer que par le sang de votre ennemi, ou le vôtre. […] Vous parlez du sang comme si c’était de l’eau de la rivière. […] , p. 131 : « Il y a, je l’avoue, une autre sorte d’affaire où la gentillesse se mêle à la cruauté, et où l’on ne tue les gens que par hasard ; c’est celle où l’on se bat au premier sang. Au premier sang ! […] Et qu’en veux-tu faire de ce sang, Bête Féroce !