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13. (1836) De l’influence de la scène « De l’influence de la scène sur les mœurs en France » pp. 3-21

Reine de France, elle mêle au sang de son père le sang de ses enfants, et celui de tous ceux qui sont assez malheureux pour lui plaire. […]  » Ce discours d’une atroce ironie, la victime pâle et sanglante, tout cela forme un tableau aussi horrible que repoussant, et quand un pareil spectacle n’aurait que le danger d’accoutumer le peuple au sang, et de le familiariser avec le crime, ne serait-ce pas un motif suffisant pour le condamner ? […] L’aplomb de Stella dans son apostasie, son sang froid d’incendiaire et d’empoisonneuse, ne pourraient-ils pas raffermir la main tremblante de celui qui, dévoré du poison de la jalousie, saisirait pour la première fois le stylet, le vase mortel ou la torche fatale.

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