Voici comment s’expliquent dans Bajazet un Prince du sang, un premier Ministre, une Sultane favorite. […] Ces spectacles renouvellent les combats des gladiateurs, où l’on se faisait un plaisir de voir couler le sang humain. […] Votre sang ! […] Que son sang satisfasse au sang de ma patrie. […] A peine chausse-t-on le cothurne, qu’on ne se repaît que de sang.